Consortium

 

 

Le BRGM et les eaux souterraines

En matière de recherche, le BRGM développe des actions sur la connaissance, l’évaluation, la gestion et la protection des ressources en eau souterraine. Elles portent notamment sur la compréhension des mécanismes de la dégradation de la qualité des eaux souterraines ainsi que l’étude de leurs caractéristiques chimiques naturelles (fonds géochimiques) ou induites par l’homme (pollutions diffuses) et des mécanismes de dépollution naturelle.

En matière de service public, l’objectif est de fournir, aux services en charge de la gestion des eaux, une expertise et un appui technique sur les eaux souterraines permettant une approche globale intégrant ces dernières et les eaux de surface. Le BRGM développe et met à leur  disposition des réseaux de mesures, des banques de données et systèmes d’information géoréférencés, des modèles, des synthèses et des outils d'aide à la gestion et à la décision.

www.brgm.fr

L’IFREMER et les eaux côtières et marines

L’Ifremer, organisme de recherche et de développement technologique finalisé est chargé d’améliorer les méthodes de surveillance, de prévision d’évolution, de protection et de mise en valeur du milieu marin et côtier.
Les besoins de surveillance sont définis par des politiques publiques, essentiellement construites à l’échelle européenne, que ce soit la surveillance environnementale liée à la Directive Cadre sur l’Eau (DCE) et le paquet hygiène pour la surveillance sanitaire des produits de la mer.

La Directive cadre stratégie pour le milieu marin 2008/56/CE (DSM) met en place un cadre visant à réaliser ou maintenir un bon état écologique du milieu marin (de la côte aux limites des zones économiques exclusives) des mers européennes.
La mise en œuvre des différentes politiques nationales de surveillance des eaux littorales s’appuie sur les réseaux de surveillance mis en place par l’Ifremer.

wwz.ifremer.fr

L'INERIS et les risques chroniques que font peser les substances chimiques sur les milieux aquatiques


L'INERIS a une grande expérience en matière d’appui technique, notamment sur la surveillance de l’état chimique des eaux de surface. L’Institut complète ces compétences par une part croissante de sa recherche aux risques chroniques, par le biais de l'écotoxicologie et de la toxicologie, et notamment à l'étude de l'impact des substances toxiques à faibles doses sur les écosystèmes et la santé humaine.

Les différents thèmes de recherche étudiés ont pour but d'évaluer les risques et leurs impacts à chacune des phases de l'activité humaine.

L’INERIS a orienté :

  • l’appui technique sur les eaux superficielles continentales en coordonnant techniquement  l’inventaire exceptionnel mené en 2005 et l’inventaire des substances dans les rejets (RSDE) pour l’élaboration d’une liste de substances pertinentes à surveiller dans le milieu et les rejets pour lesquelles l’institut a dans le même temps également élaboré des valeurs écotoxiques de référence,
  • la stratégie recherche sur les perturbateurs endocriniens et les outils de bio surveillance.


www.ineris.fr 

INRAE et les eaux superficielles

Comment hiérarchiser les effets de l’homme sur la qualité des cours d’eau et des plans d’eau, alors même que ces derniers sont des milieux complexes, soumis à une forte variabilité hydrologique, aux multiples influences humaines et plus globalement au changement climatique ? Par des étapes de modélisation de sous-ensembles de l’écosystème, l’approche scientifique permet de développer notre capacité à prévoir l’effet d’une action de restauration ou, à l’opposé, à anticiper une menace sur la qualité écologique des masses d’eau.

Les travaux de Irstea, devenu INRAE au 1er janvier 2020, visent à préparer la mise en œuvre de la Directive Cadre sur l’Eau, tout en conservant un équilibre entre recherches propres, assemblage de connaissances et transfert aux acteurs de la société. Les recherches se consacrent à l’établissement de modèles liantr pression et impact, à évaluer la variabilité interannuelle naturelle, à mettre au point des bioindicateurs et à identifier des indicateurs de l’état physique des milieux aquatiques.

www.inrae.fr

 

Le LNE : référence nationale en matière de métrologie

La mission de service public du LNE implique l'engagement financier de l'Etat sous forme de subventions annuelles qui permettent au laboratoire :

 
  • d'être le laboratoire national de référence, pour l'industrie, en matière de métrologie ;
  • de poursuivre son développement scientifique et technique pour anticiper les besoins nouveaux en matière de mesure et d'essais, liés aux évolutions technologiques et aux attentes nouvelles de la société dans les domaines de la sécurité, de la santé, de la qualité et de la protection de l'environnement ;
  • de donner une assistance technique aux pouvoirs publics et aux acteurs économiques pour l'élaboration de nouvelles réglementations et normes aux niveaux international, européen et national, la mise au point de nouvelles méthodes d'essais, et la surveillance du marché.

www.lne.fr

Avec le soutien de